Bilan Post-Ecricome

Je n’ai pas écrit depuis longtemps! Cela est dû, évidemment, au boulot que j’ai dû fournir pour transformer l’essai de l’année de cube…

Je vais essayer d’être le plus synthétique possible. Certes, vers janvier, je commençais à me demander ce que cette prépa avait de plus et dans quoi m’étais-je embarqué. Je crois pouvoir y répondre, maintenant que les concours Ecricome sont derrière moi et que j’ai pu me rendre compte de la différence sur le terrain :

  • La motivation par le rattrapage (en maths)

J’avais remarqué, dès le début de l’année, que les maths en cube étaient là pour tirer les meilleurs vers le haut – avec notamment des exercices adaptés au points chauds et finesses de réflexion et de rédaction des épreuves des Parisiennes. Me sentant délaissé, j’ai travaillé par moi-même d’arrache-pied, notamment au niveau de l’apprentissage du cours… Et ai fini par rattraper ceux qui me semblaient des héros : l’avantage principal d’Intégrale vient en maths d’une forme d’émulation, tant le niveau est globalement élevé, et – pour ceux qui ont déjà un niveau non négligeable – de “petits plus” très utiles : un professeur qui connaît par coeur le programme de maths de la BCE et les sujets des quinze dernières années (très utile pour bosser sur les annales un point précis du cours) peut apporter une plus-value à cette année à rendement hautement aléatoire.

  • Des professeurs qui “savent”  :

L’excellent cours de Culture Générale de M. Caquet incite – cela n’engage évidemment que moi – non seulement à apprendre son cours pour avoir du matériau solide et mobilisable, mais surtout à développer une réflexion, des références personnelles, à creuser des pistes et maîtriser au maximum les exercices du concours, de la dissertation au face-à-face d’HEC. Avoir un “initié” qui est correcteur et jury des Parisiennes pour professeur motive encore plus, tant sa méthode d’enseignement est rigoureuse et ponctuée de précieuses pistes – conseils, références, points méthode – d’une valeur inestimable pour le cubant.
En langues, de même : les apports en vocabulaire et civilisation, les exercices à chaque cours – thème/version type BCE – et la compétence des professeurs incitent à leur faire confiance et à gober toujours plus de vocabulaire et de points grammaticaux basiques et avancés, bien que la LV2 soit largement désertée et délaissée, son coefficient à HEC et l’ESSEC semblant négligeable (2/30).

  • Une lacune : les oraux

Les colles, trop peu nombreuses (une dans chaque langue toutes les trois semaines, maths/eco/CG un samedi ou dimanche sur deux), et au niveau aléatoire, n’incitent pas les élèves à l’assiduité – ce qui est sanctionné par la direction soucieuse de faire remonter les performances peu reluisantes d’Intégrale en général aux oraux, qui voient échouer bon nombre d’admissibles.
La suite bientôt!

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