pierre33700 a écrit:Malgré le retournement de la conjoncture, les grandes écoles et même les universités tablent encore sur une croissance de leur activité et de leurs ressources. Une perspective qui risque d'être mise à mal par la crise.
En voila d'autres qui ont été happés par le syndrome de
la prophétie autoréalisatrice.Je ne vois vraiment pas la cohérence du parallélisme entre un ouvrier salarié, père de famille,peut-être
smicard voire sous-smicard dont l'emploi est la vie et un étudiant de grande école dont l'avenir à court comme à moyen terme est moins compromis.
pierre33700 a écrit:Jusqu'ici, tout va bien. Un peu partout, grandes écoles et universités continuent d'afficher des plans de développement ambitieux, de multiplier les projets, de lancer de nouveaux programmes. Et de s'inscrire, sur la lancée de ces dernières années, dans une dynamique de forte croissance. Mais pour combien de temps ? La crise ne devrait pas épargner un secteur de l'enseignement supérieur pourtant réputé contra-cyclique.
Pour l'instant, de multiples facteurs contribuent à nourrir la spirale inflationniste.
Quel beau syllogisme entrepreneurial et quel lexique économique impressionnant!!
Une fois de plus je me demande quels seraient les liens directs entre une école et tout un cycle économique.
contra-cyclique.?

, je pense qu'il y'a là des fondamentaux à revoir quant à la definition des politiques économiques du même nom et surtout leurs effets.